A la suite d’une rupture douloureuse, Nina Bohluly a préféré rire que pleurer. En commençant par broder des couteaux dans le dos, Ta douce s’est découverte une patience (presque) sans limite. Associée à des illustrations naïves, la broderie est devenue son outil d’expression préféré pour supporter le monde dans lequel nous n’avons pas tout à fait choisi de vivre.
L'artisanat et la durabilité sont au cœur du projet. Le slow making : linogravure, sérigraphie, broderie à la main sont des techniques qui la passionnent. Les chutes de papier se transforment en cartes postales ou en étiquettes. Les vestes bébé et les mouchoirs sur lesquels elle brode, sont tous chinés en deuxième main.